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Ryder Cup Résumé 3ieme journée
18½ | |
9½ |
Ryder Cup résumé de la 2ieme journée
Résumé de la première journée de la Ryder Cup
K Club
Trou par trou, voici tout ce qu’il faut savoir sur le parcours du K Club où sera disputée la Ryder Cup.
TROU 1 – Bohereen Road
Par 4 – 418 yards – 382 mètres
Ce premier trou est idéal pour rentrer de plein pied dans la Ryder Cup. Il faut être capable de bien maîtriser la balle. Il vaut mieux passer par le côté gauche avec un bois trois, mais les cogneurs peuvent aussi choisir la solution agressive du driver, à condition de ne pas taper trop loin car une crique les attends. Le côté droit est à éviter absolument aves ses arbres et ses roughs.
TROU 2 – The Tunnel
Par 4 – 413 yards – 378 mètres
Ce trou ressemble beaucoup au précédent. Il comporte un bunker à éviter particulièrement. Un drive correct sur le fairway peut permettre d’arrivée sur le green par un fer court et d’avoir une chance de birdie. Si le joueur est en confiance, cela peut lui permettre de réussir un bon départ et les cogneurs peuvent s’y permettre une approche agressive.
TROU 3 – The Island Beach
Par 3 – 170 yards – 155 mètres
Le green est très peu profond sur ce trou-là. Il y a comme une arête au milieu qui sépare le côté gauche et le côté droit du green. Il faut mettre un soin particulier dans le choix du club sur un green aussi peu profond. Si le vent souffle, le trou devient beaucoup plus difficile et le choix du club également.
TROU 4 – Arnold’s Pick
Par 5 – 568 yards – 519 mètres
Les gros frappeurs auront un énorme avantage sur ce premier par 5 du parcours. Comme le green se situe derrière les arbres, il faut soit les contourner soit passer au-dessus sur le deuxième coup. C’est une vraie chance de birdie. Comme sur la majorité des trous, il faut faire très attention à la position du drapeau car cela indique où placer la balle en cas d’échec.
TROU 5 – Square meadow
Par 4 – 440 yards – 402 mètres
C’est un trou très délicat qui se joue en général de gauche à droite avec un vent violent. Le départ est en diagonal, de droite à gauche, et le joueur qui peut frapper la balle vers la gauche aura un léger avantage. Le green est très difficile à atteindre, perché au sommet d’une colline, et semble toujours échapper au joueur. Là aussi, la position du drapeau est très importante car elle indique la façon dont il faut jouer le trou. Jouer très long n’est pas forcément une mauvaise chose, sauf si le drapeau se trouve à gauche.
TROU 6 – The Liffey Stream
Par 4 – 478 yards – 437 mètres
Le départ est décisif car le green est entouré d’eau. Si la balle finit dans le rough, il devient quasiment impossible d’atteindre le green. Une approche un peu agressive est possible au-dessus du rough, à condition de réussir assez bon drive de façon à atteindre le fairway pour raccourcir le trou. Il y a beaucoup d’options pour aller au drapeau, mais tout dépend vraiment du drive sur ce trou.
TROU 7 – Michael’s favorite
Par 4 – 430 yards – 393 mètres
C’est un trou vraiment très délicat. Il ne faut pas jouer trop à gauche afin d’éviter les arbres, ni trop à droite pour s’épargner la crique, donc il ne faut pas manquer le fairway. Il y a de l’eau sur deux côtés et demi du green, ce qui rend le trou très difficile. Il faut réussir un bon drive, une bonne approche et le green n’est pas une partie de plaisir même s’il est incliné au milieu. Dans beaucoup de matches, si on y réussit le par 4, on a une bonne chance d’être récompensé à l’arrivée.
TROU 8 – Mayfly Corner
Par 3 – 173 yards – 158 mètres
Encore une fois, tout dépend du vent sur ce trou. Si le vent tourne et vient de face, cela peut obliger à jouer un fer quatre ou un fer cinq, un coup très difficile compte tenu de l’obstacle aquatique sur la droite. Si le vent souffle normalement de la droite, alors on peut jouer un fer court. Le vent éloigne alors la balle de l’eau et facilite le coup. On devrait y voir quelques birdies.
TROU 9 – The eye of the needle
Par 4 – 461 yards – 422 mètres
Ce trou a été redessiné et rallongé avec un nouveau départ. Le drive est crucial ici parce qu’il y a un arbre immense au milieu du fairway. S’il n’est pas assez puissant, la balle arrive soit devant l’arbre soit juste derrière et le trou devient alors très difficile à jouer. Le joueur ne distingue pas le green et il ne peut pas vraiment voir la surface de putt. Le green se creuse vers le gauche en haut et fuit le trou vers le bas. Si le joueur ne parvient pas à atteindre le fairway sur son drive, il n’a quasiment aucun moyen d’attraper le green. Il faut vraiment juger le rebond de la balle sur le green, comme sur beaucoup de trous. Il n’y a pas beaucoup de rebonds réguliers sur ces greens, les balles vont soit d’un côté, soit de l’autre, et il faut vraiment avoir une bonne connaissance du parcours. C’est un trou crucial car il permet à celui qui remporte le dernier trou de l’aller d’avoir un avantage psychologique sur le retour. Il devrait apporter beaucoup d’émotions.
TROU 10 – Mick Holly
Par 5 – 584 yards – 534 mètres
Il y a un angle de la droite vers la gauche au départ. Le joueur qui peut y réussir un gros drive, de l’ordre de 310 à 320 yards, peut avoir une chance d’atteindre ce green ultra-protégé, entouré de bunkers à gauche et à droite et dont l’entrée est particulièrement étroite. Le green est en pente de gauche à droite. C’est un très bon trou, une excellente occasion d’aller chercher le green en deux coups surtout dans les rencontres de match-play.
TROU 11 – Lily Pond
Par 4 – 415 yards – 379 mètres
Ce n’est pas le trou le plus long, mais il y a un angle pointu de la droite vers la gauche. Un nouveau départ sur la gauche peut restreindre les gros frappeurs et les forcer à jouer vers la droite. Du coup, le deuxième coup doit être joué à travers le green, dont la pente va de la droite vers la gauche en direction d’un obstacle aquatique. Si la balle part à gauche du drapeau, elle a de grandes chances de tomber dans l’eau. Cela rend les approches très difficiles, surtout s’il y a du vent.
TROU 12 – The Domain
Par 3 – 182 yards – 166 mètres
L’obstacle aquatique a été rapproché du green dont la pente va de droite à gauche. Il y a aussi un nouveau bunker juste derrière le green, sur la gauche. Si le drapeau est à gauche, n’importe quel coup trop long finira dans le bunker, et tous les coups qui partiront à gauche du bunker finiront leur course dans l’eau. Le green a été rallongée sur son côté droit arrière, ce qui donne une très bonne position par rapport au drapeau sur ce secteur.
TROU 13 – Laurel Heaven
Par 4 – 429 yards – 391 mètres
Il y a un angle de la droite vers la gauche. Il faut taper à au moins 275 yards pour avoir une bonne visibilité du green. Il y a un obstacle aquatique sur la droite du green et un bunker sur sa gauche. Si le green est manqué sur la droite, la balle finira sa course dans l’eau. La pente est vers la droite. Plus le drive est long, plus le coup sera facile car le joueur se retrouvera alors dans la pente du green. La position la plus facile par rapport au drapeau est sur le côté droit arrière, et la plus difficile sur le côté droit avant.
TROU 14 – Churchfields
Par 3 – 213 yards – 195 mètres
Normalement, le vent fait pencher le jeu vers la gauche. La pente du green est de gauche à droite. Il y a un obstacle aquatique sur la gauche, une jolie cascade, mais il y a une terrible pente de haut en bas avec une épine en plein milieu. Si le coup part trop à gauche, la balle finira dans l’eau. Il faut vraiment jouer entre le fer 2 et le fer 4. C’est un par trois très difficile.
TROU 15 – Pheasant Run
Par 4 – 446 yards – 408 mètres
Un trou très difficile. Depuis le départ, il y a un obstacle aquatique tout le long du côté droit. Le fairway est légèrement pentu de la gauche vers la droite, en direction de l’eau, et le vent souffle également dans ce sens-là de façon générale. La clé réside dans un bon drive, car le deuxième coup est surélevé par rapport à un green caché par des monticules d’herbe. Le bunker, environ 30 mètres avant le green sur la gauche, protège vraiment le green dont la pente va de l’avant vers l’arrière. En pitchant la balle vers l’avant, on peut atteindre le milieu du green, qui est aussi pentu de la droite vers la gauche.
TROU 16 – Inismor
Par 5 – 555 yards – 507 mètres
Il y a deux angles, d’abord de la gauche vers la droite puis de la droite vers la gauche. On l’appelle "le meilleur Par 5 d’Irlande". Je ne crois pas que le départ sera sur le côté gauche arrière, donc il y a une possibilité d’aller sur le green en deux coups en partant de l’autre départ, à l’avant. On a rajouté des arbres sur le côté droit, un à 280 yards et l’autre à 300 yards, ce qui va forcer les gros frappeurs à jouer vers la gauche. La rivière Liffey coule à l’avant du green, qui a été élargi afin d’augmenter le choix des positions par rapport au drapeau. Le green a également été redessiné. C’est un trou excitant pour une Ryder Cup, parce que beaucoup de matches seront sur le point d’être gagné ou perdu à partir de ce trou. Si le joueur joue pour atteindre le green, on prend un risque; s’il est moins agressif il a quand même une bonne chance de birdie.
TROU 17 – Half Moon
Par 4 – 424 yards – 388 mètres
Le trou 17 est devenu très exigeant depuis que le départ a été reculé de 40 yards. Le vent vient souvent jouer un rôle. S’il souffle de la droite, il facilite la tâche. Si l’on joue sur la droite où se trouvent trois nouveaux arbres, on peut se retrouver avec un deuxième coup très difficile. Pour réaliser le coup parfait, il faut jouer à gauche du fairway mais cela nécessite beaucoup de courage. Le coup le plus facile est de frapper un bois 3 ou un fer 2. Pour utiliser ensuite un fer 5 vers le green. Plus le club est long, plus le coup sera dur. Plus on est agressif sur ce trou, plus la tâche est facilitée. Mais le danger menace. Le green est sévèrement incliné à droite vers le Liffey. A noter également un petit monticule un peu avant le green.
TROU 18 – The Hooker’s Graveyard
Par 5 – 537 yards – 491 mètres
Ce dix-huitième trou est souvent joué sous le vent. Il est surélevé et est très excitant. Passez par le côté droit et il faudra d’éviter les trois nouveaux bunkers. Le premier se situant aux 300 yards. En passant par la gauche du parcours, on se facilite la tache mais on s’éloigne du green. Ensuite, vient l’approche avec de l’eau sur la gauche et devant le green. Sur la droite, c’est un groupe de bunkers qui se pose sur votre route. Dur, dur.
Ryder Cup 2006
Cette année, la prestigieuse Ryder Cup s’installe en Irlande, au K Club du 22 au 24 septembre
Comment tout cela a t’il commencé?
Samuel Ryder, un commerçant et golfeur méritant, étonné de voir les golfeurs américains et anglais ne pas se mélanger lors de compétitions de qualification, eut l’idée originale de faire se confronter les 2 nations. C’est ainsi que la 1ère Ryder Cup eu lieu aux Etats-Unis en 1927. En 1979, les premiers joueurs européens "non-anglais" se joignirent à la compétition et c’est alors que la chance des Américains commença (enfin) à tourner. La Ryder Cup se tient tous les 2 ans sauf en 2001 où les américains préférèrent annuler du fait des attaques terroristes et entre 1937 et 1945 à cause, évidemment, de la guerre
La forme du jeu :
– La Ryder Cup se dispute sur trois jours avec un total de 28 matches.
– Chaque match remporté rapporte un point. Un demi-point est remporté par chaque équipe en cas de partie partagée.
– L’équipe victorieuse est la première à atteindre le total de 14,5 points. En cas d’égalité à 14-14, c’est le tenant du titre qui remporte le trophée.
– Lors des deux premiers jours, la partie se joue sur huit doubles selon deux formats différents, le fourball et le foursomes.
– Dans le fourball, chaque trou est remporté par le joueur qui a réussi le plus petit score. En cas d’égalité, le trou est partagé.
– Dans le foursomes, les deux joueurs de chaque jouent un coup à tour de rôle.
– Les deux capitaines sélectionnent huit joueurs parmi les 12 qu’ils ont à disposition pour composer les doubles qui jouent lors des deux premiers jours.
– Le capitaine de l’équipe qui reçoit décide de l’ordre dans lequel seront disputés les quatre premiers tours. Cette année, Ian Woosnam a choisi de faire jouer les quatre balles le matin et les foursomes l’après-midi.
– Les capitaines désignent leurs doubles pour le premier quatre balles le jeudi soir. Les autres doubles sont choisis avant chacun des rounds suivants.
– Le samedi soir, les capitaines choisissent l’ordre dans simples et les remettent sous enveloppe scellée.
Les équipes
Deux équipes de 12 joueurs
L’Europe
Pas de Français dans l’équipe cette année, mais Thomas Levet au micro sur Canal+Sport, et sur le terrain, une équipe européenne gonflée à bloc. Tenants du titre, les européens aborderont l’épreuve avec le souvenir tout frais du HSBC, où le dernier carré comptait trois Européens contre un Américain, et remporté au final, par Paul Casey, membre de l’équipe. Ajoutons à cela que la dernière victoire des Américains en Europe remonte à 1993.
LE CAPITAINE – Ian Woosnam
Capitaine de Ryder Cup, c’est pour "Woosie" la consécration d’une carrière riche de 44 victoires de par le monde dont le Masters en 1991. N°1 européen en 90, pour la seconde fois en quatre saisons, il devenait n°1 mondial avec sa victoire du Masters. Il compte huit sélections en Ryder Cup, avec comme capitaines prestigieux Tony Jacklin, Bernard Gallacher, Seve Ballesteros…
Paul Casey (Angleterre)
Luke Donald (Angleterre)
Sergio Garcia (Espagne)
Padraig Harrington (Irlande)
David Howell (Angleterre)
Robert Karlsson (Suède)
Paul McGinley (Irlande)
Colin Montgomerie (Ecosse)
José Maria Olazábal (Espagne)
Henrik Stenson (Suède)
Wild cards :
Darren Clarke (Irlande)
Lee Westwood (Angleterre)
Les Etats-Unis
LE CAPITAINE – Tom Lehman
Eté 1996, Tom Lehman remporte le British Open, Tiger Woods passe Pro. 10 ans plus tard, le premier est capitaine de l’équipe américaine, le second dans l’équipe pour la 5ème fois… Vainqueur du British Open, mais également de l’US Open, il a surfé au sommet du classement mondial. Joueur de Ryder Cup en 1995, 97 et 99 avec ses trois simples remportés, vainqueur à Loch Lomond en 97, le capitaine américain déclare : "La Ryder Cup c’est le nec plus ultra. La passion, l’enthousiasme, les drapeaux, les chants le long des fairways, c’est ce qui en fait quelquechose d’unique."
JJ Henry
Zach Johnson
Vaughn Taylor
Brett Wetterich
Tiger Woods
Phil Mickelson
Jim Furyk
Chad Campbell
David Toms
Chris DiMarco
Wild cards :
Stewart Cink
Scott Verplank
Vous comprenez maintenant pourquoi j’ai choisi ce sport
Sportif
|
Discipline
|
Nationalité
|
Salaire 2005 (en millions d’euros)
|
Principaux
sponsors |
1. Tiger Woods
|
Golf
|
Américain
|
69,5
|
Accenture, American express, Buick, EA Sports, Nike, Tag Heuer |
2. Michael Schumacher
|
Formule 1
|
Allemand
|
65,2
|
Vermögensberatung, Marlboro, Shell, Good year |
3. André Agassi
|
Tennis
|
Américain
|
36,7
|
Adidas, Head |
4. Shaquille O’Neal
|
Basket
|
Américain
|
33,5
|
Reebok, Pepsi |
5. Oscar de la Hoya
|
Boxe
|
Américain
|
32,2
|
Puma, Budweiser |
6. Michael Vick
|
Football US
|
Américain
|
29,9
|
Nike, Coca Cola, Kraft, Powerade, Rawlings |
7. David Beckham
|
Football
|
Britannique
|
24,1
|
Vodafone, Adidas, Diesel, Gillette |
8. Kevin Garnett
|
Basket
|
Américain
|
24,1
|
Adidas, Upper Deck |
9. Peyton Manning
|
Football US
|
Américain
|
23,9
|
Reebok, Gatorade, Mastercard, Microsoft, Marsh, Zurich |
10. Lebron James
|
Basket
|
Américain
|
22,8
|
Nike, Coca Cola |
–
|
–
|
–
|
–
|
–
|
15. Valentino Rossi
|
Moto
|
Italien
|
19,7
|
Dainese, Kera Koll |
17. Ronaldo
|
Football
|
Brésilien
|
19,3
|
Siemens, Nike |
19. Maria Sharapova
|
Tennis
|
Russe
|
18,5
|
Nike, Prince, Canon, Motorola, Tag Heuer |
22. Serena Williams
|
Tennis
|
Américaine
|
17,9
|
Nike, McDonald’s, Wilson |
36. Lance Armstrong
|
Cyclisme
|
Américain
|
14,5
|
Discovery Channel, Nike |
40. Zinedine Zidane
|
Football
|
Français
|
14,6
|
Adidas, Danone, Orange, Ford, Canal + |
Source : Sports Illustrated / 2006 |
Tiger Woods
Tiger Woods (de son vrai nom Eldrick Woods), né le 30 décembre 1975 en Californie, est considéré comme l’un des plus grands golfeur de l’histoire de son sport. Avec son style flamboyant et athlétique, ses origines afro-américaine, asiatique, amérindienne et caucasienne, on le crédite d’avoir popularisé le golf au États-Unis et dans le monde, surtout auprès des minorités et des jeunes qui ne s’intéressaient pas au golf. (« tigre ») vient d’un ami de son père (un soldat vietnamien qui a combattu avec lui durant la guerre du Viêt Nam). Il devient officiellement Tiger Woods à 20 ans.
En 2000, il fait la photo de couverture du magazine TIME, 40 années après qu’Arnold Palmer fut devenu le 1er golfeur ainsi honoré.
Il est l’un des cinq golfeurs dans l’histoire de son sport à avoir gagné les quatre tournois majeurs dans sa carrière. (les autres étant : Gene Sarazen, Ben Hogan, Jack Nicklaus et Gary Player)
Avec sa victoire au « Masters » 2001, il est devenu le seul golfeur à avoir gagné les 4 tournois majeurs de suite (cela ne s’étant pas produit au cours de la même année, ce ne fut pas nommé un grand slam, mais un tiger slam).
Sa marge de victoire à l’« U.S. Open » et aux « Masters » sont aussi des records (ses 15 coups d’avance sur son plus proche rival à l’« U.S. Open » ont éclipsé un record datant de 1862, et il a réussi des exploits similaires dans les 3 autres tournois majeurs). Il avait déjà gagné 21 tournois professionnels à l’âge de 23 ans, un autre record datant de 1913.
Ses exploits amateurs (il devint professionnel mi-1996) sont les plus impressionnants de l’histoire du golf amateur :
– 3 championnats amateurs USGA junior 1991-1993 (le plus jeune à 15 ans à gagner)
– 3 championnats amateurs USGA 1994-1996 (le plus jeune à 18 ans à gagner) finissant avec un record de 18 victoires match-play de suite Son ascension au poste officiel de golfeur n°1 mondial le 15 juin 1997 fut la plus rapide de l’histoire du golf (et fut aussi le plus jeune à l’atteindre) à 21 ans (battant le record de 29 ans)