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U2 – Magnificent

 
Catégories :Concerts

Le roi est mort….

27 juin 2009 1 commentaire
J’étais dans l’obligation de mettre un billet sur cet artiste qui me fait vibrer depuis mes 8 ans Sa musique a traversé les époques sans prendre aucune ride. Mes goûts musicaux ont beaucoup changé mais pourtant rien n’y fait ces chansons me font toujours autant d’effets. On peut dire tout ce que l’on veut sur la personne qu’il était, et je ne remets pas en question les accusations que l’on a portées sur lui, rien n’y fait ce gars était un dieu de la musique, un véritable artiste. Chose qui devient de plus en plus rare de nos jours.
 
  
Catégories :Concerts

Où est lulu ?

24 juin 2009 1 commentaire
A vous de me dire à quel moment j’apparais.
 
 
 
 
Catégories :Concerts

Lotta Rosie

Catégories :Concerts

Concert AC/DC au stade de France le 12 juin

Set list
  • "Rock ‘n’ Roll Train"
  • "Hell Ain’t a Bad Place To Be"
  • "Back in Black"
  • "Big Jack"
  • "Dirty Deeds Done Dirt Cheap"
  • "Shot down in Flames"
  • "Thunderstruck"
  • "Black Ice"
  • "The Jack"
  • "Hells Bells"
  • "Shoot To Thrill"
  • "War Machine"
  • "Dog eat Dog"
  • "Anything Goes"
  • "You Shook Me All Night Long"
  • "T.N.T."
  • "Whole Lotta Rosie"
  • "Let There Be Rock"
  • "Highway To Hell"
  • "For Those About To Rock (We Salute You)"

On arrive en terrain connu avec AC/DC. Quelque soit le lieu, grand ou petit, gigantesque ou à taille humaine. Bercy en février, Stade de France hier soir: même combat, même rituel, même show. Une grand messe selon la formule consacrée avec ses codes et ses préambules.

Bars saturés de buveurs de bière, toilettes encombrées par des garçons impatients préférant se soulager contre un mur: on ne s’embarrassait ni avec les bonnes manières, ni avec le bon goût hier soir, à l’image des milliers des cornes clignotantes qui illuminaient une impressionnante marée humaine. Tant mieux. C’est justement cela que les 76 000 spectateurs de Saint-Denis étaient venus chercher: de l’efficace, du grand spectacle et surtout pas de surprise. Les Australiens sont trop rares pour s’égarer dans des digressions inutiles.

Alors AC/DC allait à l’essentiel, assurait le show que l’on attendait de lui. Au son de «Rock’n’roll train», une gigantesque locomotive transperçait d’abord l’écran géant, en fond de scène, laissant place à un groupe en forme olympique, Angus Young en tête, indécrottable écolier de 54 ans, avec short, casquette, bouche bée, tâtant déjà de l’avancée qui lui permettait de se retrouver au milieu du public.

La star c’était lui, comme d’habitude aux sons des «Angus, Angus», scandés par un public survolté, notamment lors de son introduction ébouriffante de «Thunderstruck» où ses doigts de fée métallique couraient sur un manche en fusion. Un peu plus loin, le guitariste tombait la casquette, puis presque tout le reste sur «The Jack» laissant apparaître un caleçon AC/DC. Il emportait même définitivement la partie à lui tout seul pendant «Let There be rock», morceau de bravoure de près d’un quart d’heure, emmené seul à la guitare, perché sur un podium au milieu du stade. L’effet est le même chaque soir. Comme tout le reste: la gigantesque poupée gonflable à cheval sur le train pour «Whole Lotta Rosie», la cloche qui résonne en ouverture de «Hells Bells», les coups de canon pour l’ultime «For Those About To Rock». Pourtant AC/DC donnait encore l’impression de s’amuser, malgré un répertoire identique depuis des mois voire des années, généreux comme si sa vie en dépendait. Une leçon pour la jeunesse.

Article de Emmanuel Marolle, Le Parisen du 13 juin

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Le solo d’Angus

 
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Hell’s bells

 
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Rock’n roll train

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Nouveau tube d’eminem

 

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Benetton

Avec ses publicités chocs et ses pulls édulcorés, Benetton est devenu en 40 ans un véritable mythe de mode et de marketing.

 

Si Benetton fait de la maille la star de ses collections, ce que l’on retient aujourd’hui encore, ce sont ses publicités d’abord gentiment édulcorées puis insoutenables. La communication par l’image prend tout son sens : les produits s’éclipsent face aux valeurs de l’entreprise, les visuels chocs s’imposent pour transmettre un message humain. L’origine de ce positionnement atypique pour l’époque : une rencontre. En 1982, Luciano Benetton fait la connaissance d’Oliviero Toscani, par l’intermédiaire du créateur italien, Elio Fiorucci.

Dès lors et pendant 18 ans, le photographe et l’entrepreneur vont régner en maîtres sur le marketing et la communication de la firme. Leur ligne de conduite pour les années 1980 : la promotion du multiculturalisme, de la multiracialité. Après tout, quoi de plus naturel pour une firme qui s’est faite l’étendard de la couleur que de promouvoir la diversité ethnique ? Les années 1990 marquent ensuite un tournant radical dans ces campagnes : Benetton décide de bouleverser l’opinion, de réveiller les consciences. Un homme estampillé du sigle VIH, un uniforme de soldat maculé de sang, un sidéen mourant auprès de sa famille, une chaise électrique, un enfant trisomique : la maison prend position sans complaisance pour les Droits de l’Homme, contre les épidémies mondiales, les conflits balkaniques, la famine. La pub signée Benetton dérange ou subjugue mais ne peut laisser indifférente, c’est là la clé de son succès.

Source Véronique Deiller, Journal des Femmes

Voici un échantillon de mes préférées.

 

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